Chers amis lecteurs,
En dépit de tous mes efforts déployés pour garder la tête froide, il me semble que le courrier reçu par voie postale, soit bénéfique pour retrouver un moral, descendu dans les talons depuis quelques jours. Le contenu de la missive, écrite de surcroît à la mine moyenne d’un stylo Roller de bonne manufacture, me demande d’accepter une virée dans la vallée de l’Elqui, mieux connue sous le nom de la vallée de Coquimbo. L’homme, à l’initiative de cette lettre, n’est pas moins que le professeur parisien que j’avais rencontré lors de l’expédition en République Centrafricaine. Mon article, à l’époque, paru dans le périodique spécialisé quelques jours après notre retour, n’avait pas relaté ses mésaventures nocturnes. A-t-il apprécié ma discrétion sur mes observations intimistes, pour vouloir m’associer à cette nouvelle aventure ? Certainement soucieux de m’être agréable en retour, et ayant lui-même étudié quelques-uns de mes traits de caractère, son courrier précise que l’exploration serait inconfortable, périlleuse et de plus, s’il y avait imprudence, douloureuse… Le contenu de ce billet ne précise pas la nouvelle bestiole qui va faire l’objet de toutes les attentions des entomologistes. Nonobstant, ravie de jouer la plumitive pour des passionnés de nature, j’accepte l’invitation. Je n’ai que quatre semaines pour préparer carnets de voyage, un sac à dos et une playlist
Août 2021, il s’agissait d’un papillon. Qu’en sera-t-il en juillet 2024 ?
… Je vous donne rendez-vous courant juillet pour des nouvelles quotidiennes… Une journée, un post ! Là, est mon nouveau défi !
Texte de référence : le cauchemar posté en septembre 2021 (page 2)
Ambiance d’écriture :
Nick Jonas & The Administration « Olive & An arrow »